Skip to content
Prêteur Privé
Consolidation de dettes avec un financement alternatif

Ecrivez-nous

calculatrice hypothécaire

Ouvrir le menu
  • Accueil
  • Demande
  • Services
    • Premier achat
    • Crédit refusé
    • Refinancement
  • Nouvelles
    • Premier achat
    • Refinancement
    • Crédit refusé
    • Taux
  • Contact
  • Propos
    • Politique d’utilisation
    • Plan de site
  • Facebook
  • Twitter
  • Augmentation du taux directeur

    Augmentation du taux directeur de la banque du Canada

    Augmentation du taux directeur
    Augmentation du taux directeur

    La Banque du Canada relève le taux cible du financement à un jour pour le porter à 3/4 % de son taux directeur, Augmentation du taux directeur. Le taux officiel d’escompte s’établit donc à 1 %, et le taux de rémunération des dépôts, à 1/2 %. Les données récentes ont renforcé la confiance de la Banque dans ses prévisions d’une croissance de l’économie supérieure à celle de la production potentielle et d’une résorption des capacités excédentaires au sein de l’économie. La Banque reconnaît que l’inflation a été faible récemment, mais juge que cette situation est temporaire. Étant conscient du décalage existant entre les mesures de politique monétaire et l’inflation future, le Conseil de direction considère qu’il est approprié à ce moment-ci de relever le taux cible du financement à un jour.

    Augmentation du taux directeur

    L’économie mondiale continue de se renforcer et la croissance s’étend à un nombre grandissant de pays et de régions. L’économie américaine a été atone au premier trimestre de 2017, mais elle croît maintenant à un rythme solide, soutenu par un marché du travail robuste et un raffermissement des investissements. De plus en plus de pays dans la zone euro connaissent une croissance supérieure à celle de la production potentielle. Toutefois, l’incertitude géopolitique élevée continue de brouiller les perspectives de l’économie mondiale, particulièrement en ce qui concerne le commerce et les investissements. Parallèlement, les prix mondiaux du pétrole ont fléchi, les marchés s’employant à atteindre un nouvel équilibre entre l’offre et la demande.

    L’économie canadienne a été robuste, étant stimulée par les dépenses des ménages. Par conséquent, une part appréciable des capacités excédentaires dans l’économie s’est résorbée. La croissance très vigoureuse du premier trimestre devrait se modérer pendant le reste de l’année mais demeurer supérieure à celle de la production potentielle. La croissance se généralise à l’échelle des secteurs et des régions et devient donc plus soutenable. L’ajustement aux prix plus bas du pétrole étant pour l’essentiel terminé, tant le secteur des biens que celui des services sont en expansion. Les dépenses des ménages demeureront probablement solides dans les mois à venir, à la faveur de la hausse de l’emploi et des salaires, mais leur rythme de croissance devrait ralentir durant la période de projection. Parallèlement, les exportations devraient apporter une contribution de plus en plus importante à la croissance du PIB. Les investissements des entreprises devraient aussi contribuer à la croissance, un point de vue étayé par la plus récente enquête de la Banque sur les perspectives des entreprises.

    La Banque estime que la croissance du PIB réel se modérera encore durant la période de projection, pour passer de 2,8 % en 2017 à 2,0 % en 2018 et à 1,6 % en 2019. La Banque prévoit maintenant que l’écart de production se refermera vers la fin de 2017, soit plus tôt qu’elle ne l’avait anticipé dans le Rapport sur la politique monétaire (RPM) d’avril.

    L’inflation mesurée par l’IPC a reculé ces derniers mois, et les trois mesures de l’inflation fondamentale utilisées par la Banque restent toutes en deçà de 2 %. Les facteurs expliquant la faiblesse de l’inflation semblent pour la plupart temporaires, notamment la concurrence accrue en ce qui a trait aux prix des aliments, les rabais accordés sur les prix de l’électricité en Ontario et les changements des prix des automobiles. À mesure que les effets de ces mouvements de prix relatifs s’estomperont et que les capacités excédentaires se résorberont, la Banque s’attend à ce que l’inflation retourne à un niveau proche de 2 % d’ici le milieu de 2018. La Banque continuera d’analyser les fluctuations à court terme de l’inflation afin de déterminer dans quelle mesure il demeure approprié d’en faire abstraction.

    Le Conseil de direction juge que les perspectives actuelles justifient la décision prise aujourd’hui de réduire une partie de la détente monétaire dans l’économie. Les ajustements futurs au taux cible du financement à un jour seront guidés par les nouvelles données sur lesquelles la Banque se fonde pour établir ses perspectives en matière d’inflation, compte tenu de l’incertitude persistante et des vulnérabilités au sein du système financier.

    Source : Banque du Canada, 12 juillet 2017

    Demande de prêt hypothécaire et pré-autorisation

    Pour en savoir plus sur les taux variables et taux fixes :

    Qu’est-ce qui détermine le taux hypothécaire au Canada ?

Coordonnées

5855 Boulevard Taschereau
Brossard, Qc
J4Z 1A5
Suite 202

Ecrivez-nous

Sans objet

jacques@carrefour-immobilier.ca

Liens
  • Politique d’utilisation
  • Plan de site
  • Demande d’admissibilité
  • Témoignages
Réseaux Sociaux
  • Facebook
  • Twitter

©2003-2020 Dominion Lending inc. Tous droits réservés.

  • Accueil
  • Demande
  • Services
    • Premier achat
    • Crédit refusé
    • Refinancement
  • Nouvelles
    • Premier achat
    • Refinancement
    • Crédit refusé
    • Taux
  • Contact
  • Propos
    • Politique d’utilisation
    • Plan de site